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Aujourd'hui, voici un article sur le film Yamato Fukkatsu-Hen que je traine depuis quelques mois (pour cause d'admin feignant ). Je vous le poste ici-même afin de vous en faire profiter :


Uchû Senkan Yamato Fukkatsu-Hen :

L’âge d’or de la saga Yamato s’achèvera en 1983, avec la sortie dans les cinémas japonais du film Uchû Senkan Yamato Kanketsu-Hen (Final Yamato). La saga Yamato comptabilise alors 3 séries TV, 1 téléfilm et 4 films. Et après ?

En 1994, Yoshinobu Nishizaki décide de relancer la saga grâce à une nouvelle série d’OAV : Yamato 2520. Chara et mecha designs totalement différents, la série voulait se démarquer de ses prédécesseurs. Un manque de succès et des problèmes de production mettront fin prématurément au projet. Peu après, les problèmes juridiques commencent : en effet, Leiji Matsumoto, qui avait grandement contribué à la saga, notamment par ses designs, s'offusquait d'être "cantonné" à ce seul rôle, ce qui minimisait son impact sur l'histoire et les personnages. S'en suit une longue bataille juridique, qui ne se terminera qu'en 2003 et où Matsumoto et Nishizaki seront reconnus comme auteurs de la saga à parts égales.

Cependant, avant que toute cette histoire ne prenne fin, deux projets autour de Yamato avaient été lancés. Nishizaki, à la même période que celle de la production de Yamato 2520, avait commencé la pré-production d'un nouveau segment à la saga, Yamato Fukkatsu-hen, qui devait faire suite au dernier film sorti en 1983. A ce moment, tout cela ne semble pas dépasser le stade du projet (l'échec de Yamato 2520 ayant sûrement fait l'effet d'une douche froide au staff). Matsumoto, de son côté, avait lancé le manga Great Yamato, qui réinsérait la saga Yamato dans son propre univers personnel aux côtés d'Harlock, Maetel et tant d'autres, une adaptation animée étant prévue par la suite. La bataille juridique freinera grandement tout ça : pour continuer sa nouvelle série animée, Matsumoto modifie grandement le design de son Great Yamato, le dotant d'une paire d'ailes et d'un disque étrange sur l'avant de son vaisseau, et rebaptisant le tout Daï Yamato Zero Gô. Le projet de Nishizaki, quant à lui, s'enfonce toujours plus dans une opaque incertitude, surtout que Nishizaki est envoyé en prison pour une sombre affaire de trafic d'arme et de drogue, dont il ne sortira que fin 2007.

Toutefois, début 2004, la fin du procès opposant Nishizaki à Matsumoto permet la reprise du projet Fukkatsu-Hen. Avec son fils, Nishizaki monte alors la société Enagio pour créer une toute nouvelle série. Une première bande annonce fait même son apparition, montrant déjà ce que nous offrira cette nouvelle mouture de Yamato : un chara design différent, et beaucoup de 3D.

Alors que tout semblait aller pour le mieux, voilà que de nouvelles disputes judiciaires de copyrights éclatent. Daï Yamato Zero Gô, déjà sous le coup de très mauvaises ventes DVD, voit sa production stoppée, officiellement pour un remaniement scénaristique pour obtenir une série plus aboutie. La suite et fin finira quand même par sortir en 2007, après deux ans d'attente. Le projet de Nishizaki retourne à nouveau dans un profond mutisme, dont il ne sortira qu'en 2008.

Août 2008, après plusieurs années sans nouvelles, Yamato Fukkatsu-Hen fait reparler de lui. Nishizaki lui-même relance le projet. Il annonce pour cela l'ouverture du "Yamato Studio" à Tokyo en précisant qu'il s'agirait de son dernier projet, l'intéressé ayant alors 73 printemps (dont une partie passée à l'ombre...). Le projet est prévu pour être terminé l'année suivante. Nishizaki espère même alors un résultat dépassant Ponyo, le dernier film de Miyazaki sortant à cette période !
Entre temps, les problèmes de copyrights autour de la licence Yamato sont enfin résolus, notamment à gros coups de billets (http://www.albatorssx.com/forum/viewtopic.php?t=1179).
Les prochaines informations sur Yamato Fukkatsu-Hen suivront en Mars 2009 lors de la Tokyo Anime Fair (pour s'enchaîner par la suite à un rythme effréné) où est présent un stand chargé de la promotion du projet, qui se révèle alors être non plus une série mais un film. Principalement destiné aux professionnels, le stand se contente seulement de dire que le film sortira en 2009 et donnera aussi un court synopsis du projet. En Mai 2009, le site officiel ouvre, donnant un premier visuel du nouveau Yamato tout en 3D. Un DVD promotionnel est aussi annoncé pour Juin2009, et qui sera suivi par 2 autres par la suite. Les Japonais pouvaient alors le demander gratuitement via le site. L'histoire est également annoncée. Elle reprend la même ligne que ce qui avait déjà été évoqué au début des années 90 :
L'histoire se passera en 2220, soit 21 ans après le début de la saga Yamato et 17 ans après le film "Final Yamato". Un trou noir de 320.000 kilomètres menace la terre, et ses 300 millions d'habitants sont alors obligés de partir dans l'espace pour rejoindre la planète Amaaru, distante de 27.000 années lumière. Cependant, la flotte est attaquée, et c'est Susumu Kodaï, 38 ans, qui mènera la contre offensive avec un nouveau Yamato, celui-ci ayant eu depuis une fille avec Yuki Mori, nommée Miyuki.
Le design Yamato n'évolue pas beaucoup, mais il pourra cette fois se servir de son Wave Motion Gun à six reprises d'affilé. Au niveau technique, le film comportera 1860 plans, dont 700 auront recourt à l'informatique, les scènes de combats comptant essentiellement des scènes en 3D.
Presque au même moment, une nouvelle image est révélée dans certains journaux japonais, montrant le nouveau Yamato en 3D de manière beaucoup plus convaincante. La période de sortie est également annoncée : ce sera pour décembre 2009. Moins de deux semaines après, quelques vidéos circulent sur le net (youtube notamment) et qui ne resteront en ligne que quelques heures. Ils s'agissait probablement de passages finalisés au niveau de l'images, mais dont les voix et les musiques manquaient (on pouvait toutefois y entendre des morceaux connus entendus précédemment dans la saga) et qui avaient été présentés à certaines conventions (probablement à la "yamato party 2009" : http://www.starblazers.com/html.php?page_id=358) et salons. Mais déjà plus de six minutes d'images ont ainsi été révélées, qui nous présentaient toutefois principalement des scènes en 3D avec très peu de plans comportant de l'animation traditionnelle.
Début Juin 2009, les DVD promotionnels sont envoyés, et son contenu devient alors trouvable sur le net : il s'agit d'une grande bande annonce géante de près de neuf minutes, reprenant les images qui avaient déjà filtrées auparavant. Seuls quelques nouveaux plans (avec de l'animation traditionnelle notamment) sont rajoutés, avec aussi les premiers dialogues audibles et des extraits des nouvelles musiques par-dessus. Bref, une belle mise en bouche avant la sortie du film.
Par la suite, les deux sites officiels du films apporteront leur lot d’informations : images, descriptions, nouvelles bande-annonces, etc… Un autre site va également ouvrir : le Yamato Crew (https://www.yamatocrew.jp), principalement centré sur la vente de produits dérivés autour du film.
Fin Octobre 2009, on apprends que c'est le groupe The Alfee qui interprètera la chanson principale du film. Trois CD single sortiront, en plus des deux bandes-originales du film (l'une normale, l'autre symphonique).
Le film sort en avant-première le 28 Novembre 2009 devant 4000 spectateurs. Ceux-ci assisteront à deux fins différentes (l'une positive, l'autre négative) pour le film et voteront pour celle qui sera projetée en salle par la suite lors de la sortie nationale japonaise du 12 Décembre. Malheureusement, à sa sortie, le film doit faire face à une sacrée concurrence : le dixième film de One Piece fait un week-end de démarrage encore plus fort que celui du Ponyo de Miyazaki, et le reste de la concurrence est constituée de gros blockbusters comme là-haut, 2012 ou encore Public Enemies. Ainsi, le film sort du box-office japonais au bout de deux semaines seulement. Après cette déconvenue, le film est annoncé en Blu Ray, DVD et UMD pour Juin 2010. Mais là encore, un report au mois de Juillet se fait connaître, et la fin alternative qui devait être présente dans les bonus est passée à la trappe…

Le Staff & Cast :

Réalisateur en chef : Yoshinobu Nishizaki (西崎義展)
Planning : Yoshinobu Nishizaki (西崎義展)
Supervision du projet : Toshio MASUDA (舛田利雄)
Direction de l'animation : Tomonori KOGAWA (湖川友謙)
Mecha Design : Makoto KOBAYASHI (小林誠)
Distribution : Tohokushinsha Film Corporation
Production : Enagio

Voix de Susumu Kodaï : Kôichi Yamadera (山寺宏一)

Toshio Masuda a déjà collaboré de nombreuses fois sur la saga Yamato en tant que réalisateur. Avec Tomonori Kogawa, un vétéran du chara design (Ideon, Ginga Eiyu Densetsu, …), il dirigera une équipe de 40 animateurs sur Yamato Fukkatsu-Hen. Makoto Kobayashi, quant à lui, se chargera du mecha design, domaine où il a déjà officié plusieurs fois avec succès (Venus Wars, Z Gundam, Steamboy, …).
Au niveaux des voix des personnages, celle du héros, Susumu Kodaï, sera interprétée par Kouichi Yamadera, la voix japonaise de Spike spiegel de Cowboy Bebop, mais aussi de Harlock et Tochirô dans certains anime (Endless Odyssey, Harlock Saga, Eternal Fantasy et DNA Sights 999.9 pour Harlock, Harlock Saga et Queen Emeraldas pour Tochirô).
Pour terminer sur la création du film, il est à relever pour l'anecdote qu'en Juin 2009 le site officiel a publié un "livre de réconciliation". Plus concrètement, il s'agit de scans de quelques pages d'un document officiel où il est affirmé que Leiji Matsumoto n'a participé d'aucune manière à ce film. Une manière d'éviter la naissance de rumeurs infondées ?

Sources :
Mata-Web
Anime News Network
Starblazers.com
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[CeLeBaN Le Vert]

Aujourd'hui, je vais aborder un film de l'univers de Matsumoto généralement mal-aimé, mais que j'adore : Galaxy Express 999 – Eternal Fantasy. Et justement, je vais essayer de vous convaincre de lui donner une seconde chance, ou de vous donner envie d'y jeter un œil si vous ne l'avez jamais vu. Bon, vu qu'on est encore dans l'intro, on peut quand même dire vite fait ce qui joue en la défaveur du film : une durée réduite à 55 minutes à cause de problèmes de production et une fin qui, de ce fait, n'en est pas vraiment une… Cela aurait peut-être été moins grave si le projet mystérieux annoncé à la fin du générique aurait été une suite quelconque à l'histoire, mais ce ne fût malheureusement jamais le cas. Même la partie du manga sur laquelle se base le film n'a pas de fin, c'est pour dire ! Mais bon, arrêtons de nous lamenter et entrons dans le vif du sujet avec les bonnes raisons de regarder Eternal Fantasy :



Raison n° 1 : l'animation

Outre le fait de ne pas avoir de fin, la durée du film a un autre effet : la frustration de ne pas pouvoir profiter encore plus de la splendide animation dont bénéficie Eternal Fantasy ! Tout est d'une superbe fluidité et est on ne peut plus agréable à regarder. Cela sied notamment aux scènes d'actions, qui en gagnent subtilement en intensité. L'animation est renforcée par le chara-design au top de Takahiro Kagami, et qui élève Eternal Fantasy au même niveau qualitatifs que les productions récentes sur lesquelles a travaille Keisuke Masunaga (et qui surpasse même haut la main quelques "ratages", du genre Space Symphony Maetel par exemple…). On pourra peut-être être plus mitigés sur le design d'Harlock, mais on est quand même loin d'un ratage.
Récemment, la Haute-Définition a redonné un coup de boost au film, et il serait dommage de le bouder si vous voulez acquérir les Blu-Ray japonais des films de Galaxy Express 999 !
Pour l'anecdote, le film a été l'un des premiers à avoir été colorisé par ordinateur. Vous pouvez vous amuser à rechercher les différences de couleurs entre la bande-annonce et le film !


Raison n°2 : le film est une synthèse émotionnelle de la saga Galaxy Express

Je vais m'expliquer tout de suite sur cette raison un peu obscure de par son appellation : les amateurs de Galaxy Express 999 ont tous été marqués par sentiments, les émotions, le romantisme, la féerie… - et j'en passe – que véhicule la saga. Eternal Fantasy véhicule le digne héritage de tout cela. Le film, tout en s'appuyant sur ce qui avait voulu être transmis aux spectateurs auparavant, vous fera vibrer de la même manière à de nombreux moment : que ce soit lors de la première intervention musclée du Three-Nine ou pendant que Tetsurô ouvre sa valise et redécouvre son contenu, par ses duels jamais gratuits et emprunts d'un certain esprit guerrier teinté d'honneur (surtout grâce au personnage d'Hellmotheria sur lequel je reviendrai), lorsque Tetsurô apprend la destruction inévitable de la Terre, lorsqu'il ouvre le repas qu'on lui avait donné, lorsqu'il récupère son billet, ou encore lorsque Claire réapparaît (je m'arrête là, je pense que vous avez compris), Eternal Fantasy fait subtilement écho à ce qui nous a plu dans la saga, sans pour autant en être une simple resucée sans âme (comme Space Symphony Maetel, encore une fois…). Bref, le film s'inscrit donc dans la continuité de es prédécesseurs, et il le fait (très) bien.


Raison n°3 : une musique sublime

Comme ses prédécesseurs, le film possède une ambiance musicale envoûtante. On la doit à Kôhei Tanaka (pour les plus vieux, si je vous dit Gunbuster, ça vous donnera sûrement quelques frissons rien qu'en y repensant. Pour les plus jeunes, c'est lui qui fait la musique sur One Piece – mais personnellement, je ne lis que le manga, je ne sais pas ce que ça rend sur la série et les films -), qui a vraiment réalisé une superbe composition sur ce coup là. Tendez bien l'oreille en regardant le film, vous serez agréablement surpris.
Et comment parler de la musique d'Eternal Fantasy sans évoquer son générique de fin, Brave Love, interprété par The Alfee (qui ont récemment fait les chansons du film Yamato Fukkatsu-Hen) ? Il n'a vraiment pas à rougir face à (par exemple) Taking Off et clôture très bien le film.


Raison n°4 : de l'action à gogo

La liste des scènes suffit pour se rendre compte du rythme du film : le Three-Nine traverse un immeuble pour sauver Tetsurô, un duel dans les bois, une planètes explose, le Three-Nine évite les débris d'une planète qui vient d'exploser, l'Arcadia vient aider le Three-Nine à échapper aux débris d'une planète qui vient d'exploser, des êtres composés d'Hélium 3 ravagent le Three-Nine, un duel dans un wagon dévasté du Three-Nine… Et tout ça dans seulement 55 minutes ! Imaginez ce que ça aurait été si le film avait duré 2 heures.


Raison n°5 : Hellmotheria

Que serait un film sans son méchant ? Qui plus est lorsque celui-ci est des plus charismatiques ? C'est ce qu'est Hellmotheria : une adversaire des plus redoutables, qui se bat avec honneur et dont la disparition est aussi triste qu'elle est sublime. Une méchante comme on les aime : pas une pourriture irrécupérable, mais une personne dont les actes sont guidés par les circonstances (dans le cas présent, le fait d'appartenir à l'Empire Métanoïde). Elle n'était peut-être pas la méchante ultime de l'histoire que voulait raconter le film, mais elle fait partie de ces personnages que l'on aime rencontrer dans l'univers de Matsumoto.


Raison n°6 : l'histoire

Bon, je sais, vous allez me dire "hééé, mais y'a même pas de fin à ton truc, comment tu veux que ça soit bien ?". Mais je m'en fiche, c'est moi qui écrit !
Plus sérieusement, il faut admettre que le scénario du film tient plus en une série de promesses plutôt qu'à une vraie trame. Mais quelles promesses : la Terre, à nouveau asservie par les Métanoïdes alors qu'elle a subit l'invasion des troupes de Promethium il n'y a pas si longtemps, se retrouve au bord de l'anéantissement. Le seul moyen de la sauver et d'aller sur Technologia retrouver ceux qui ont ressuscité Claire ! Si vous avez vu Cosmowarrior Zero, Métanoïdes et Technologia sont des noms qui ne vous sont pas inconnus. Les Métanoïdes sont les grands méchants de l'univers moderne de Matsumoto, qu'il tente de caser là où il le peut (on les retrouve dans Queen Emeraldas aussi, entre autres) sans jusque là à avoir bien réussi à leur donner une destinée bien cohérente et complète. A noter qu'on a le droit à une anecdote inédite sur les origines des Métanoïdes lors d'un sprint de Maetel.
Eternal Fantasy n'est donc au final qu'une introduction à ce qui aurait apparemment été une plus grosse intrigue, mais le film remplit très bien ce rôle. C'est d'autant plus une réussite quand on lit l'ineptie qu'est le manga sur lequel il se base et où on est loin d'être aussi enthousiaste en le lisant.


Raison n°7 : parce qu'on voit Maetel prendre un bain nue

Bon, en fait je commence à manquer de raisons argumentées, donc je balance mon joker ! ;-P


Le mot de la fin :

Hé bien voilà, j'espère que je vous aurais convaincu d'arrêter de jeter la pierre sur ce film (et si vous ne savez pas quoi en faire, Space Symphony Maetel n'attends que vous…). Ce n'est pas la perfection, mais les qualités qu'il possède méritent qu'on y jette un œil (et une oreille, pour la musique, cf. raison n° 3).
Je complète cet article avec une critique du DVD japonais que j'avais faite il y a quelques années : http://www.albatorssx.com/index.php?menu=sortie&page=GE999eternalfantasydvd
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sur youtube, je n'ai trouvé qu'un trailer
un goût de bien trop peu en effet
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[melancholia]

[CeLeBaN Le Vert]

Un petit post pour revenir sur un truc que j'ai déjà posté dans ce topic : en première page de ce topic, je vous parlais d'un prototype d'Arcadia sans ailerons fait par Katsumi Itabashi. Hé bien figurez vous que celui-ci vient de faire un retour discret dans l'univers de Matusmoto !
Je vous explique : tous les ans au Japon a lieu la "Leiji Future", une convention tournant autour de Matsumoto organisée avec l'aide du site Zero Goods Universe. Cette année, la convention aura lieu le 18 Décembre, et Itabashi a réalisé l'affiche de l'évènement. Et devinez qu'est-ce qu'on peut y apercevoir ?



Comme quoi Esis n'a pas le monopole de l'anticipation de la remise au goût du jour des trucs bizarres de l'univers de Matsumoto ;-P
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[CeLeBaN Le Vert]

Je viens de découvrir un p'tit truc assez sympatoche : l'artiste Hip-Hop MF Doom a samplé une musique de Yamato dans l'un de ses morceaux :

MF DOOM - Arabic Gum :
http://www.youtube.com/watch?v=BnwRlDQ9R7U

L'original :
http://www.youtube.com/watch?v=33wHb3CMNIw

Si vous êtes fans de Gorillaz, MF Doom a collaboré avec le groupe sur le morceau November Has Come et est même apparu lors de leurs 2 live à Paris en Novembre 2010.
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Voici deux pubs rares illustrées par Leiji Matsumoto :


_Tout d'abord, une pub pour le "studio 1980", un enregistreur cassette mono de chez Sony, visible dans un magazine datant du 3 Novembre 1974 :

Source : http://blogs.yahoo.co.jp/y_sirais/17710089.html

_ Ensuite, le personnage de Kôsoku Esper qui apparait dans une pub pour Toshiba :

Source : http://blogs.yahoo.co.jp/y_sirais/6670527.html
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[CeLeBaN Le Vert]

Hello tout le monde !

Après presque une année sabbatique, me voilà de retour sur le forum.
J'ai dû m'absenter principalement par grand manque de temps (même si je n'étais pas très loin et balançait quelques news à notre cher admin en privé ), mais l'actualité intense de ces dernières semaines me font sortir de ma tombe. Me revoici donc pour vous apporter toutes les dernières news de l'univers Matsumoto comme auparavant.

Notre cher admin (ou incapable notoire comme je l'appelle affectueusement ) ayant laissé passer quelques infos, nous allons remettre tout ça en ordre et repartir sur de bonnes bases. Vu que je suis toujours pas mal occupé, on fonctionnera encore plus en binôme pour être le plus au taquet possible !

Je vous dit à très bientôt !
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[CeLeBaN Le Vert]

Petite trouvaille du jour : courant 2011, Leiji a réalisé des illustration pour la Geki Zoro, un évènement organisé pour la chaine de salles de jeu Big Apple (mais après de longues recherches avec Captain_Harlock, nous n'avons pas réussi en quoi consistait exactement cet évènement). Des affiches et deux pages internet ont été réalisées pour l'occasion.




Source : ameblo.jp/akibakichijyouji


Les deux pages internet :
http://www.amusementhall.com/event/gekizoro
http://www.amusementhall.com/event/supergekizoro
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[CeLeBaN Le Vert]

Alors le sujet du jour est une petite découverte que j'ai faite aujourd'hui. J'utilise pas mal Google pour chercher des news, et je suis tombé sur une image que je n'avais jamais vue jusque là :



Me semblant reconnaître une œuvre de Keisuke Masunaga, je commence à chercher sa provenance (car du Albator 78 dessiné par Masunaga, ça m'intrigue énormément). Au bout que quelques temps, je fini par trouver d'où vient cette image : elle est tirée d'une machine Pachislot qui date de 2010 (et qui m'a apparemment échappée à l'époque). Je fini par tomber sur le site du fabricant (Sankyo) et trouve de quoi m'illuminer les yeux avec plein d'illustrations que je n'avais jamais vues :
http://www.sankyo-fever.co.jp/pachislot/2010/psch/index2.html

Je vous ai fait quelques captures de ces illustrations :







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[CeLeBaN Le Vert]

Aujourd'hui, je vous propose une illustration de Leiji Matsumoto présentant Tetsuro et Maetel en compagnie de la mascotte du site internet Nico Nico Douga. Elle a été récemment mise en vente au profit d'une des nombreuses ventes de charité auxquelles participe souvent Leiji Matsumoto.


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[animekritik]

J'ai emprunté une image pour le banner. Ici:

http://animekritik.wordpress.com/

Merci

[CeLeBaN Le Vert]

De rien Moi je l'utilise sur mon profil Facebook ^^
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Ce coup-ci, je rajoute quelques illustrations de Leiji Matsumoto :


Tout d'abord, une affiche datant de 2011 pour les Onsen (sources d'eau chaude) de Kusatsu :

Source (d'eau chaude ! ho ho ho !) : blog.livedoor.jp/cpiblog00787

Ensuite, des illustrations pour une pièce de théâtre intitulée "Bakumatsu Girl" (「幕末ガール」) racontant l'histoire d'une des premières femmes-médecins du Japon à la fin de l'époque d'Edo. Elle sera jouée à partir du 14 avril 2012 jusqu'en mars 2013 :


Page officielle : http://www.botchan.co.jp/bakumatsu/index.html
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